Hakim de Fal

Prénoms : Hakim Tarek Wassim

Nom : Zoheir

Roi de Fal

25 ans ♦ Humain

Candide - Joyeux - Souriant - Capricieux - Hyperactif - Sens de l'humour particulier - Affectueux - Susceptible - Goût prononcé pour les femmes - Goût prononcé pour les hommes - Goût prononcé pour tous les genre en fait - Nudiste - Manipulable - Avide - Polygame - Impatient - Joueur - Profiteur - Opportuniste

Informations personnelles

Royaume d'origine : Fal
Royaume de résidence : Fal

Ce que ton personnage aime : Les câlins, plaire, donner du plaisir (de toute sorte), les animaux en tout genre, l'argent, l'exotisme.
Ce que ton personnage n'aime pas : Se battre, les conflits, être seul, avoir mal, la banalité.

Talent(s) et compétence(s) : Il a un talent tout particulier pour se faire manipuler, d'où la nécessité d'un conseil au sein de la direction du royaume. Malgré tout il a un talent manifeste pour avoir la confiance des autres et pour délier les langues en douceur.

Faiblesse(s) et phobie(s) : Faible physiquement, une pichenette le met K.O. Il a aussi une grande peur d'être abandonné et seul, de ce fait il est constamment accompagné soit d'un serviteur soit d'un(e) courtisan(e).

Pouvoirs magiques

No power here.

Histoire de ton personnage

« Je me nomme Hakim Tarek Wassim Zoheir, et ceci est un mémoire qui m’a été très gentiment donné par Ibrahim, qui m’a d’ailleurs très gentiment ordonné demandé d’y écrire mes mémoires. Semble-t-il que ma lignée avait pour habitude d’écrire leur mémoire, et que c’était une coutume que je devais suivre. Chose que je trouve assez ridicule, inutile, et une grosse perte de temps.
Bref.
Autre “coutume” que je trouve, là encore, bien inutile, c’est de nommer son enfant par tous les noms des anciens rois de la lignée qui ont régné sur le royaume de Fal. Je n’imagine pas mon petit-petit-petit-petit fils, qui devra se nommer par neuf noms quand il s’annonce. Je lui conseille d’avoir du souffle. Ainsi, Tarek était mon père, Wassim mon grand père, et Zoheir mon arrière grand père. Cela s’arrête là, car l’histoire est que Zoheir prit le pouvoir grâce à une rébellion du peuple contre l’ancien roi, tuant donc sa dynastie et sa lignée – enfin je crois. Ainsi “Zoheir” est devenu le nom de ma lignée royale.
D’ailleurs je trouverai cela plus pertinent de n’avoir que “Zoheir” comme nom rappelant la lignée, plutôt que d’avoir TOUS les NOMS des anciens ROIS.
BREF. »

Hakim posa subitement sa plume, se craqua les doigts, poussa un soupire résigné, se leva, fit trois tours autour de son bureau d’un pas agressif, ordonna qu’on lui apporte un panier de fruit, avant de se rassoir, de craquer ses doigts, de soupirer à nouveau, et de reprendre son mémoire.

« Introduction : qui suis-je. Eh bien je suis beau. Elégant. Attirant. Sûr de moi. Aimé de tous.
Enfin je crois.
Beaucoup me disent que je suis chiant, énervant, que je parle trop, que je devrais faire moins de bruit, que je devrais songer à m’habiller, que je devrais cesser de regarder les attributs anatomiques discriminants quand je parle à ladite personne, qu’on a envie de me frapper – Ibrahim ne se gêne pas pour me frapper la tête lui – que je suis étrange, bizarre, que je devrais m’intéresser un peu plus à la politique... on dit beaucoup de choses sur moi, mais je préfère retenir que je suis beau, élégant, attirant, sûr de moi, et aimé de tous. C’est l’évidence même, d’ailleurs.

Mes parents : le drame. Mes parents sont morts – c’est bien pour cela que j’ai hérité du trône. Terriiiiible accident d’escalier. Oui oui oui. Ils sont tombés dans les escaliers et se sont rompu le cou en arrivant en bas. Il faut dire que cent marches, ça ne devait pas faire du bien. C’est ma faute d’ailleurs s’ils sont tombés. J’aimais mes parents, je n’avais pas envie qu’ils ne meurent. Simplement bien malgré moi j’ai aidé à leur mort, en glissant, en les poussant bien malgré moi. Ibrahim avait réussi à me rattraper avant que je ne tombe avec mes parents, mais ceux-ci eurent moins de chance.
Oui, c’est ridicule, mais voilà, c’est comme ça. Quand j’étais jeune, j’étais maladroit. Deux pieds gauches. Mais ça c’est calmé avec le temps ! Je crois...
Du coup, pof, je suis devenu roi. Enfin pas complètement, j’avais environ 15 étés à ce moment là, alors n’étant pas en âge de pouvoir prendre les décisions tout seul, un conseil fut formé, dont Ibrahim fait parti. Normalement une fois l’âge passé, le conseil aurait du se dissoudre, mais finalement non. Il faut dire que c’était bien plus amusant de déléguer, j’avais plus de temps libre, je pouvais faire plus de choses pour moi, m’amuser, voyager, etc. Au grand désarroi du conseil qui, lui, aurait voulu que j’endosse les responsabilités.
Un jour peut-être. Je suis encore jeune, j’ai le temps. »

La corbeille de fruit arrivant – ou plutôt la femme de fruit arrivant – Hakim cessa d’écrire pour se consacrer à la dégustation minutieuse des divers fruits parsemant le corps de la femme. Et plus si affinité.
Hakim reprit son mémoire le jour suivant, la dégustation ayant prit plus de temps que prévu.

« Acte II : Mon royaume. Fal. J’adoooooore mon royaume. Il y fait chaud. Il y faut beau. Les constructions sont faites dans un élégant matériau rouge brique, et le peuple a réussi à mettre quelques touches de couleurs ici et là, s’accordant à la couleur des bâtisses. Bâtisses qui ont été construites de sortes qu’à l’intérieur de la ville et du château, il y fasse moins chauds qu’à l’extérieur. Oui oui, c’est possible, cela a été calculé par des trucs compliqués, avec le rayonnement du soleil, le temps d’exposition, etc. Je n’ai pas tout compris, mais en tout cas il est vrai qu’il fait bien moins étouffant à l’intérieur de la ville. Ce qui n’empêche qu’il fallait se couvrir la tête avec un châle pour éviter les insolations.
Mon royaume est grand et est en continuité avec le Désert, ce qui fait que malgré qu’il soit grand, il est très souvent ensablé – bien que l’on trouve quelque fois des oasis.
Le désert est un endroit parfait pour se cacher et ne pas être retrouver, cela en fait ainsi un lieu de prédilection pour la pègre. Soit des assassins, des espions ou des voleurs. Cela fait donc de Fal un lien de transition pour la pègre, et de ce fait un lieu où il y a(vait) beaucoup de criminalité. “Avait”, tout simplement car j’ai réussi à imposer une loi sur la criminalité : on vous héberge si vous ne faites rien de répréhensible aux habitants du royaume. La surveillance dans les rues est donc accrue, et bien que quelques uns s’essaient à jouer les plus malins – qui se font souvent pendre – la plupart du temps, je n’ai pas de retour négatif sur cette loi.
De ce fait, Fal est un “territoire neutre” pour la pègre, en déplaise certainement aux autres royaumes. Pas de conflits, pas de problèmes. Mais malgré tout, du fait de la présence de potentiels assassins, espions et voleurs, l’armée est bien garnie, et surtout bien entrainée.
Le seul souci c’est que pour être vraiment neutre, je ne dois pas user des services des assassins, espions, et voleurs. Enfin, pas officiellement du moins...

Acte III : Finalité de l’introduction à moi. Car oui, il va bien falloir que je termine ce mémoire un jour, pour le reprendre lorsque j’aurais fais d’autres choses pour mon royaume certes, mais au moins, ce sera fini pour le moment.
Mon royaume est donc un lieu où la pègre s’y sent bien, et les autres royaumes n’ont pas leur mot à dire là-dessus s’ils ne veulent pas de problème avec mon armée ET la pègre, qui, elle, bien contente d’avoir un lieu tranquille, s’alliera facilement à moi. Mais bon, j’imagine que cela a aussi un côté bénéfique même s’ils ne veulent pas l’avouer.
Je suis donc roi et je fais prospérer mon royaume, qui est d’ailleurs réputé pour ses maisons closes luxueuses et pour la vente de textile de qualité ainsi que de plantes exotiques. La polygamie y est acceptée, c’est pourquoi j’ai décrété que je ne me contenterai pas d’une seule femme. J’ai donc commencé à me construire un harem, composé donc de femmes mais aussi d’hommes – adultes bien entendu. Il y aura bien entendu une première dame avec laquelle je constituerai mon héritage (c'est-à-dire, procréer), mais elle n’aura pas le pouvoir pour autant.

Que dire de plus ? Rien, je crois. J’ai un royaume à gouverner et du temps libre pour m’amuser, alors je vais en rester là, jusqu’à ce que je trouve d’autres faits à relater sur mon règne. »

Ne sachant pas comment terminer autrement, Hakim finit donc par ranger sa plume avec un sourire satisfait. Ibrahim, quand il lira le mémoire, demandera (ordonnera) sûrement au Roi de recommencer avec plus de sérieux, puisque cela partait dans tous les sens et qu'il manquait la mention à l'acte I (où était-il d'ailleurs ?), mais Hakim préférait ne pas y penser.
En effet, pour le moment, son petit harem l’attendait pour son bain.

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