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L'hebdomadaire rendez-vous. [Zanae]

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07.11.17 18:23
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Le ciel s'illuminait à peine lorsque je me levai. Les yeux piquants et les épaules lourdes j'avais pris plus d'une demi heure à sortir de mon douillet lit.

Une fois cette triste demi heure d'une paresse des plus crasses je m'était hâté de me préparer, j'avais failli oublié l’entraînement. Le plus important des entraînements même, le seul que je ne pouvais rater, retarder, annuler. Les hebdomadaires passes d'armes avec Zanae étaient une tradition bien réglée et il n'y avait aucune bonne excuse pour les rater. J'avais accroché ma lame courbe dans mon dos, ma rapière à ma taille, sur une ceinture de couteaux de lancer. Et aujourd'hui j'étais drapé de mon si cher cuir de capitaine, admirant avec candeur la libellule d'or qui me toisait depuis mon épaule tout en arrangeant méticuleusement la sur-couche de plaques de cuir formant ma carapace insectoïde ; avant de décider de prendre avec moi mon heaume de commandante, lui aussi à l'image d'une libellule, ne me laissant voir le monde qu'à travers deux fin orifices situés sous les plaques d'acier mimant les yeux de l'insecte. J'avais même eu la facétie de faire sculpter mon couvre-bouche en forme de mandibules hérissés.

Enfin prête je traversai les couloirs encore quasiment vides de la forteresse, me dirigeant dans la plus grande hâte vers l'un des jardin surélevé peuplant la forteresse où nous nous entraînions depuis des années. Cette tradition nous venais du temps ou j'étais à peine écuyère, et elle pas encore Cheffe. Une jeune seccyeth issus de la fine fleure de la noblesse Impériale, double hybride et fille de la légende Minakhäil Veronwe qui croisait le fer une fois par semaine avec une petite écuyère venu de rien. Il était amusant de voir qu'exactement vingt ans plus tard nous nous trouvions toutes deux aux sommets de nos Ordres respectifs. Cette vieille relation avait gonflé de fierté la gamine que j'étais et emplissait encore aujourd'hui mon cœur d'un doux sentiment de satisfaction, elle était la preuve de nos talents et de notre force ; et celle de la qualité de notre travail commun. L'Empire n'avait pas à rougir de ses deux commandantes et nul ne pouvait remettre en question notre zèle.

Les dernières marches enfin gravit je me délectai un court instant de l'atmosphère si particulière de ce lieu, elle était à la fois nostalgique et entraînante, ce lui était tout autant le siège de certains de mes plus doux souvenirs et de mes plus folles ambitions. Ici nous nous entraînions à la future conquête du continent Enkiev, ici se préparait la chute de nos ennemis, ici se tenaient les deux futures capitaines de leur défaite.

C'est donc assise sur le rebord fleuris d'un rempart que je me félicitait d'être tout de même arrivé ici avant Zanae, jamais elle ne m'avais devancé et elle était pourtant d'une ponctualité à toute épreuve. J'allumais donc ma traditionnelle cigarette d'avant entraînement et sortant ma petite pierre à aiguiser d'une sacoche de poitrail, cachée par une des plaques de mon armure. J'attendais ainsi ma camarade la cigarette fumante à la bouche, concentrée à aiguiser à la perfection ma longue lame courbe, elle aussi victime de mon obsession pour la libellule, comme pouvait en témoigner celle qui était gravée sur son manche.

Je me levais ensuite pour trancher un peu le vent, sautant à courtes impulsions d'un bout à l'autre de l'usé cercle de terre central sur lequel nous nous entraînions habituellement. Cet espace réduit, à peine une dizaine de mètres de diamètre, était l'environnement parfait pour m'entraîner à utiliser mes Impulsions en combat, et c'était un bon échauffement.

C'est donc assise au sol, haletante et bandant fermement une jambe gauche légèrement disloquée par mon pouvoir que j’accueillis Zanae dans notre jardin. Elle évidemment était aussi impeccable qu'à son habitude et la course du soleil m'indiquait qu'elle était encore une fois exactement à l'heure. Je souris gaiement en la saluant main levée.

« Zanae ma chère sœur, car elle l'était tout autant que chacune de mes sœurs de l'Ordre, comment tu vas ce matin ? Prend le temps de t'échauffer j'ai encore abusé sur les impulsions je crois que mon tibia est un peu décalé j'en ai pour un instant. »

C'est sans plus de cérémonies, car il n'y en avait pas besoin en ce lieu et sans observateur, qui je me remis à mon bandage sans plus prêter attention à ma compagne ; obnubilé que j'étais à évité de planter mon tibia pré-disloqué dans ma chair.
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09.11.17 9:09
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Notre chef des seccyeths avait disparu, personne ne savait où il était ni si nous le reverrions un jour. En ce sens, étant la sous-chef, j'avais pris le rôle de chef par interim, jusqu'à ce qu'une décision soit prise. Bien franchement, la disparition de ce dernier ne me dérangeait guère, car je ne trouvais pas qu'il faisait du bon travail. Il n'était le chef que depuis peu et aucune réunion n'avait été faites, aucun entrainement commun n'avait été cédulé, rien. C'était un peu ordinaire, nous étions un ordre important, nous nous devions de continuer à nous entrainer, à nous réunir et à faire des missions au nom de l'empereur. Il y avait tant à faire pour préparer la prochaine invasion enkiev. J'espérais grandement garder le titre de chef, je ne l'avais jamais voulu jusqu'à présent, mais cela avait changé. De voir cet imbécile ne rien faire m'avait mis hors de moi et j'avais réalisé que si je voulais que ca bouge, je devais m'en occuper moi-même. Pour cela, je devais être la chef de l'ordre, puisqu'en étant que la sous-chef, les décisions ne me revenaient pas au final. Je pouvais donner mon opinion mais la décision était prise par le chef.

J'en avais discuté avec mon père, puisque ce dernier avait refusé bon nombre de fois de prendre ce rôle au sein de l'ordre. Lui aussi visait toujours plus haut, et j'avais eu peur que mon envie d'être chef le déçoive. Heureusement, ce n'était pas le cas, au contraire, il était même fier que je veuille grimper les échelons tout comme lui. Ca m'avait suffisamment rassurée pour que je demande une entrevue avec l'empereur afin de lui demander le rôle de façon permanente, pas juste en intérim. Quoiqu'il en soit, en attendant, je continuais de m'entrainer afin de rester en forme. Et justement, aujourd'hui était un jour spécial dans mon entrainement. C'est aujourd'hui que j'allais m'entrainer avec Loka, la chef des chevaliers impériaux et une amie d'enfance. Depuis que mon père avait entrainé les chevaliers lorsqu'ils étaient tout jeune, Loka et moi nous étions liées d'amitié. Et nous avions créés une tradition ensemble: une fois par semaine, nous nous entrainions ensemble, comme lorsque nous étions gamines. Cela nous permettait de rester en forme, certes, mais surtout de passer du temps ensemble malgré le fait que nous appartenions à deux ordres différents.

Nos entrainements avaient lieu dans l'un des jardins surélevé de la forteresse, c'était notre lieu d'entrainement depuis maintenant 20 ans déjà. À l'époque, elle n'était qu'une écuyer, tandis que j'étais que l'apprentie de mon père. Je le suivais dans chacun de ses déplacements, et je l'accompagnais donc lorsqu'il devait aller entrainer les écuyers impériaux. C'est ainsi que j'avais fais la connaissance de Loka, et que nous nous étions liées d'amitié. Mon père avait sentit que Loka serait forte et m'avait demandé de l'entrainer et j'avais accepté. Puis nous nous étions liées et encore aujourd'hui, l'entrainement avait lieu, même jour, même heure, même endroit, semaine après semaine. Rien ne me le faisait manquer, c'était une tradition entre nous. Il arrivait même parfois que mon père vienne nous voir, encore aujourd'hui. Je l'appercevais parfois, sourire en coin, fier de son oeuvre, fier de nous deux. Il nous observait un court instant puis repartait auprès de l'empereur, maintenant qu'il avait obtenu un poste important auprès de lui.

J'étais toujours d'une ponctualité effrayante, jamais je n'arrivais en retard nul part. Et pourtant, Loka me battait chaque fois que nous nous rencontrions. Elle était toujours en avance et cela m'amusait, j'aurais pu moi aussi arrivée plus tôt afin d'arriver avant elle, mais je ne voyais pas l'intérêt. Il n'y avait pas d'esprit compétitif entre elle et moi, chose rare dans nos vies. Nous étions vraiment soeurs d'armes, mais soeurs de coeur également. J'étais enfant unique, et de ce que j'en savais, elle aussi. Mais nous nous étions trouvées et cela emplissait mon coeur de fierté que de pouvoir dire qu'elle était la petite soeur que je n'avais jamais eu. Aujourd'hui comme à chaque fois, cette dernière était assise sur un rempart, Cigarette au bec, comme à son habitude. Je n'étais pas encore arrivée, mais je pouvais la voir au loin. Elle aiguisait sa lame, bien concentrée à son ouvrage jusqu'à ce qu'elle se lève pour sauter d'un bout à l'autre du cercle de terre où nous nous entrainions.

Lorsqu'enfin je fus près d'elle, Loka était désormais assise au sol, haletante et bandant sa jambe gauche, un peu disloquée. Je ne comprendrais jamais pourquoi elle continuait à se servir d'un pouvoir qui la blessait... Il faut dire que je n'avais de pouvoirs que ceux obtenus par mon sang, si bien que je ne connaissais pas vraiment ce que c'était. En même temps, je me rappelais mes débuts de chevauchée sur mon dragon et les marques que cela m'avait laissé et je me disais que cela devait être la même chose. En me voyant, Loka me salua gaiement, le sourire aux lèvres. Elle me demanda comment j'allais tout en me disant de prendre le temps de m'échauffer, car elle devait s'occuper de sa jambe. Apparemment, c'était son tibia cette fois qui était légèrement disloqué et qu'elle se devait de bander correctement avant notre entrainement.


- Je vais bien ma chère Loka, comme à l'habitude. Prend ton temps pour te soigner, je ne suis pas pressée aujourd'hui.


Et sur ces paroles, je m'empressa de commencer mon échauffement. Je détestais me blesser en entrainement, et pour cela, je prenais toujours un grand soin de bien me préparer et m'échauffer avant chacun d'eux. N'ayant pas de pouvoirs magiques me permettant de guérir, lorsque je me blessais, j'en avais pour plusieurs jours à récupérer, voir même plusieurs semaines si c'était plus grave. Après une dizaine de minutes à préparer mes muscles à ce qui allait venir, je me suis tournée vers Loka afin de voir où elle en était.

- Tout va bien Loka? Es-tu prête pour notre séance? Si tu préfère reposer ta jambe, nous pouvons discuter et ne s'entrainer que la semaine prochaine.
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10.11.17 10:26
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Ma jambe était à peine douloureuse finalement. Un bandage bien serré aura fait l’affaire.

Je m’auto-congratulais de cette résistance, que mon corps supporte de mieux en mieux ce pouvoir alors qu’il vieillissait était une preuve formelle de la qualité de mes entrainements et de mon vide de vie. Il était surprenant de se féliciter ainsi d’une blessure, mais le souvenir de mes jambes ou bras pendouillant complètement disloqué et inutilisables après quelques bonds lors de ma tendre jeunesse me confortait dans cette fierté. Je n’avais jamais été une sorcière de talent, mes pouvoirs étaient médiocre excepté la télékinésie; j’avais ainsi mis un point d’honneur à parfaire à l’extrême cet unique atout magique à ma disposition.

Pourtant, si aujourd’hui j’étais capable de bonds d’une dizaine de mètres sans la moindre égratignure, et de chutes d’une même hauteur, il m’était toujours impossible de me servir de ce pouvoir à des fins martiales sans risqué ma santé. Les bonds successifs émettaient de telles pressions à tant d’os et muscles simultanément que mon corps ne pouvait tenir la longueur. Il me fallait encore bien des efforts pour un jour espérer utiliser ce pouvoir à ma guise…

Je me relevais ainsi, un fin sourire satisfait aux lèvres pour observer l’échauffement de ma chère sœur. Elle était d’un martial impressionnant, son sang lui avait vraiment donné une avance considérable sur n’importe lequel d’entre nous. Tel Abygaïl ou Azkhalon, Zanae était de ceux dont le destin avait été tracé à la naissance. Je l’admirais ainsi quelques minutes avant qu’elle ne se tourne vers moi, ayant ainsi l’occasion d’admirer mon large et gai sourire, pour s’enquérir de mon état.

« Je vais bien Zanae, merci. Je donnai deux grandes claques à mes cuisses en guise de ponctuation. Débutons l’entraînement ! Ma jambe est à peine déplacée tout se passera très bien. J’émis un court sourire carnassier. Elle ne m’empêchera pas de te battre tout à l’heure ne t’inquiète pas ma chère sœur. »

Ce genre de petite provocation n’avait aucune importance, rien ne pouvait paraître déplacé, mesquin ou agressif entre nous, notre relation était de celles qui ne se formalisaient de rien. Nous nous connaissions après tout depuis si longtemps, nous avions tant croisé le fer. Elle et son père avaient été ma famille adoptive depuis que j’étais arrivé ici et rien n’avais jamais entaché notre amitié depuis.
Malgré tout la pique n’était pas toute innocente, il était vrai que je remportais chacune de nos joutes depuis mon adoubement. Si je ne m’en enorgueillissais que peu je me savais bien plus fine, adroite et talentueuse lame de l’Empire. Ce n’était tout de même pas pour rien que je dirigeais désormais la Chevalerie Impériale. Zanae savait parfaitement manier l’épée et était une duelliste d’un talent certains malgré l’évidence de ses réserves sur la question, mais j’avais moi-même développé mon art du duel jusqu’à des strates inatteignable pour quiconque sur Irianeth. Et je ne doutais pas instant qu’il en était de même pour Enkidiev.

Zanae n’avait bien sur aucune amertume à ce sujet, notre relation n’était pas aussi puérile. Nous connaissions chacune les forces et faiblesses de l’autre, et étions chacune bien plus fière qu’envieuse de celles-ci.

Je dégainai donc à nouveau ma longue lame courbe et l’empoignai fermement à deux mains ; d’oblique face à moi, pied gauche en avant et droit trente degrés en oblique. J’aurais pu commencer l’entraînement à la rapière comme à mon habitude mais cette lame était récente, originale et il me tardait d’en profiter.

« Quelques petites passes d’échauffement pour commencer ma sœur ? Garde haute pour toi et basse pour moi, histoire que je puisse tâter quelque peu de l’allonge de cette lame ? »
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12.11.17 21:23
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Je ne m'étais échauffée qu'une dizaine de minutes, ce qui me semblait que très peu. SI ce n'était que de moi, le réchauffement de mes muscles dureraint beaucoup plus longtemps. Il me fallait toutefois être logique, je ne pouvais pas passer des heures à me réchauffer. Seulement, je détestais être blessée, autant physiquement que mentalement d'ailleurs, et par conséquent, je voulais éviter à tout pris de prendre des risques inutiles. Mais, un réchauffement de trois heures n'était pas acceptable, aussi je devais me restreindre et rester logique. Mon échauffement avait donc durée une dizaine de minutes.

Vers la fin, je sentis le regard de ma soeur de coeur posé sur moi et je me demanda à quoi elle pouvait bien penser. N'ayant pas de pouvoirs magiques, je ne pouvais le savoir qu'en lui demandant, malheureusement.  Quand je m'étais tournée vers elle, elle me souriait gaiement et semblait bien aller. D'ailleurs, lorsque je lui demanda si elle préférait reporter l'entrainement, elle me répondit qu'elle allait bien, claque sur les cuisses à l'appui. Selon ses dires, elle était prête à débuter l'entrainement, sa jambe n'étant finalement qu'à peine déplacée, elle allait me battre malgré ce léger handicap.

Cela me fit sourire, car tout le monde savait que Loka était l'une des plus grande épéiste du continent. Elle avait probablement été l'élève la plus douée de mon père, même moi je ne lui arrivais pas à la cheville. Il faut dire que Loka était médiocre en magie; elle même le disait souvent. Elle avait donc compensé cette faiblesse en devenant la meilleure au combat. Pour ma part, bien que j'excellais avec l'arc et l'épée, j'étais minable en corps à corps. Cela était principalement dut au fait que puisque j'étais toujours à dos de dragon lors des combats, j'avais mis l'accent sur ce qui me permettait de combattre sur mon fidèle ami.

Déjà prête, Loka avait dégainé une longue larme courbe et l'empoignait déjà fermement à deux mains, en position de combat. La lame devait être neuve, car elle commencait normalement nos entrainements par sa rapière. Ma soeur de coeur s'adressa de nouveau à moi en me demandant si j'étais prête pour queques passes d'échauffement. Elle voulait avoir la garde haute et moi la basse afin de voir l'allonge de la lame. cela me confirma dans mon idée que l'arme devait être acquis récemment. Je dégaina mon épée à mon tour, une toute simple mais oh combien efficace et répondit à la chevalier.


- Aucun soucis pour moi, on commence quand tu es prête!


Je me positionnais moi aussi de façon à pouvoir utiliser mon épée en garde basse, puisque cela ne me dérangeait guère de quelle façon je positionnais mon épée pour mes combats. J'étais à l'aise de toutes les façons, et puis il faut dire que j'étais concentrée à réfléchir déjà à mes attaques et mes parades à venir. Je cherchais surtout à trouver comment me servir de la blessure de ma soeur de coeur à mon avantage, sans toutefois la blesser plus qu'elle ne l'était déjà, même si elle disait bien aller. D'ailleurs, plus je pensais à cette blessure, plus je me demandais comment elle se l'était fait. Ma curiosité finit par prendre le dessus et je lui posai la question qui me turlupinait depuis tout à l'heure.

- Mais dit moi, qu'as-tu fait cette fois-ci pour être blessée à la jambe?


J'adorais l'entendre parler de ses histoires avec l'ordre impériale. Je n'avais aucun pouvoir magique et cela m'allait parfaitement. Malgré cela, j'aurais aimé faire partie des chevaliers afin de pouvoir combattre aux cotés de Loka. Même en temps de guerre, il serait fort peu probable que nous soyions réunies côte à côte, puisque je serais sur le dos de Thanos et elle auprès des autres chevaliers. Évidemment, avoir des pouvoir magiques en plus aurait probablement eu des avantages indéniables. Seulement, cela aurait voulu dire ne pas faire la rencontre de Thanos et ne pas suivre les traces de mon père. Hors, rien n'égalait mon rôle de seccyeth et je ne le regrettais pour rien au monde.

- Aller, dit moi comment tu t'es fais ca! On s'entrainera après, c'est promis!
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